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Okondja écrit l’histoire : une marée humaine pour accueillir le Président-candidat Oligui Nguema

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C’est un moment que les Lobikamois n’oublieront jamais. Ce dimanche 6 avril 2025, la commune d’Okondja, dans le département de la Sébé-Brikolo, a franchi un cap dans son histoire politique contemporaine en offrant au Président de la République et candidat à sa propre succession, Brice Clotaire Oligui Nguema, un accueil d’une ampleur inédite.

De mémoire de Lobikamois, jamais la ville n’avait connu une telle mobilisation.
Dès les premières lueurs du jour, les routes, ruelles et esplanades d’Okondja ont été envahies par une foule immense, venue de tous les cantons du département. Des milliers de citoyens ont convergé avec un seul objectif : témoigner leur attachement indéfectible à celui qu’ils considèrent comme l’un des leurs : le Bâtisseur, le Libérateur, le Fils du pays.

Les chants, les cris de joie, les slogans vibrants ont retenti avec une intensité rare :
C’BON pour Okondja ! C’BON pour le Gabon !”
Une ferveur populaire sincère, spontanée, qui a marqué les esprits et réaffirmé la place singulière d’Okondja dans le cœur du Chef de l’État.

Un Président accueilli en fils, célébré en bâtisseur

Dès l’apparition du cortège présidentiel, l’émotion était palpable. Les larmes des anciens, les danses des femmes et des groupes socioculturels, les cris de la jeunesse galvanisée : tout traduisait un message clair – “Bienvenue chez toi, Monsieur le Président.”

Oui, à Okondja, le Président Oligui Nguema est chez lui. En 19 mois, il y est déjà revenu trois fois, preuve d’un attachement sincère à la Sébé-Brikolo, terre d’histoire, de fidélité et d’avenir.

Mais au-delà du symbole, les populations ont tenu à dire merci pour ce qui a été réalisé en si peu de temps :
▪ un centre hospitalier moderne et fonctionnel,
▪ une station-service Gabon Oil en cours de construction,
▪ des forages d’eau potable,
▪ le lancement de la route Makokou–Okondja,
▪ les travaux engagés au stade municipal,
▪ un lycée agricole en chantier,
▪ et des nominations valorisant les compétences locales.

Ce jour-là, Okondja n’a pas applaudi un discours : elle a salué un bilan.

Une réussite portée par tous les fils et filles de la Sébé-Brikolo

Ce triomphe populaire n’est pas le fruit du travail d’un seul homme. Il est le résultat d’un engagement collectif, porté avec détermination par les filles et fils de la Sébé-Brikolo, unis derrière leur candidat.

La Ministre Brigitte Onkanowa, les sages du département, les forces vives locales, les cadres, militants, jeunes, femmes et membres de la coordination de campagne, tous ont œuvré à faire de cette étape un moment inoubliable.
Une communion rare, symbole d’unité retrouvée, d’un élan populaire puissant.

Comme l’a dit un notable, la voix tremblante d’émotion :
Jamais un président n’a été reçu ainsi par sa propre terre.”

Okondja a donné le ton

Dans son discours, le Président Oligui Nguema, profondément touché, a salué cette mobilisation exceptionnelle. Il a réaffirmé son lien personnel avec Okondja, et rappelé que les actes posés ne sont que le début d’un avenir que nous bâtirons ensemble.

Oui, Okondja a donné le ton d’une campagne exemplaire : enracinée dans le concret, nourrie par la reconnaissance, portée par une dynamique de foi, de fidélité et d’espoir. Une étape qui marque les esprits et annonce une mobilisation historique pour le scrutin du 12 avril.

Nous avons vu. L’œil qui a vu, ne ment pas.
Nous avons reçu. Nous avons compris.
Le 12 avril, nous voterons C’BON, pour la stabilité et l’espoir.

Et ce jour-là, sans nul doute, la voix de la Sébé-Brikolo résonnera comme un cri de fidélité et de victoire.

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Déguerpissements à Plaine Orety : Ndong Sima face à des usurpateurs qui cherchent à salir son nom ?

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Accusé par certains membres de la société civile d’avoir été à l’origine des récents déguerpissements à la Plaine Orety, l’ancien Premier ministre Raymond Ndong Sima sort de son silence. Dans une mise au point sans détour, il dénonce des propos « infondés » relayés par « des individus en quête de lumière » qui se présentent comme « porte-parole du Président de la République ».

« Le Président a un porte-parole officiel. Il n’a nul besoin d’usurpateurs pour exposer sa pensée », assène-t-il. Et d’ajouter : « Le mélange des genres est toxique. Que chacun reste à sa place ! »

Pour se défendre, Ndong Sima pose trois questions de logique :
« Si j’avais eu les informations sur les personnes déjà dédommagées, pourquoi n’ai-je pas moi-même réquisitionné le génie militaire ? Pourquoi ai-je fait procéder à un inventaire précis ? Pourquoi ai-je saisi le tribunal pour obtenir des ordonnances d’expulsion ? »

L’ancien chef du gouvernement affirme avoir « toujours respecté les procédures » à la tête d’un État de droit, et rappelle qu’il a organisé « de nombreuses réunions sur ce dossier à la Primature ».

Selon lui, « l’accélération du dossier, 30 jours après [son] départ », prouve qu’on le soupçonnait à tort de freiner les projets.

Parti pour raisons de santé le 1er juin, après avoir été « cordialement reçu par le Président », il se dit « en convalescence ».

Il conclut en appelant au respect strict des règles et avertit que « les déclarations irresponsables des membres de la société civile seront portées devant les tribunaux dès [son] retour au Gabon ». Cette mise au point éclaire les tensions autour du dossier Plaine Orety et invite à une gestion responsable et transparente des opérations à venir.

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Didier Ndong reçu par Mouyouma : un retour chez les Panthères se précise

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Le vendredi 13 juin 2025 à Libreville, le sélectionneur national Thierry Mouyouma a rencontré Didier Ndong Ibrahim, milieu de terrain d’Estaghal FC, dans le cadre d’un possible retour du joueur au sein de la sélection nationale. Selon des sources concordantes relayées par Gaboneco, les échanges entre les deux hommes ont été francs et porteurs d’espoir.

Absent depuis plusieurs mois, Ndong aurait présenté ses excuses au sélectionneur et donné son accord de principe pour se conformer aux nouvelles exigences du staff technique des Panthères. Si aucune annonce officielle n’a encore été faite, son retour pourrait intervenir dès la fenêtre internationale de septembre 2025, lors des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026.

Le joueur pourrait ainsi être convoqué pour les deux rencontres déterminantes :

▪︎Seychelles – Gabon, le 1er septembre 2025

▪︎Gabon – Côte d’Ivoire, le 8 septembre 2025

À la suite de cette rencontre, le joueur s’est exprimé publiquement, dans un message teinté de reconnaissance et d’engagement :

« Les rencontres permettent toujours de mettre la lumière sur tout. Merci Sélectionneur, cher Aîné, pour ce moment… Unis, nous vaincrons pour la Nation, notre Vert-Jaune-Bleu. »

Un retour de Didier Ndong marquerait une étape importante dans la reconstruction de l’équipe nationale, avec l’ambition collective de rallier la Coupe du Monde 2026.

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Centre hospitalier régional de Mouila : alerte sur un hôpital à la dérive

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Le Centre hospitalier régional de Mouila (CHREM), censé être une référence sanitaire dans la province de la Ngounié, est aujourd’hui au centre de graves dysfonctionnements. Selon plusieurs témoignages concordants relayés par Gabon Actu, l’établissement souffre d’une gouvernance défaillante, marquée par la magouille, le laxisme et l’impunité, au détriment des usagers et du personnel.

L’enquête signale notamment des dépenses somptuaires et des doublons de factures liés à l’achat d’équipements médico-techniques. Une pratique orchestrée par quelques initiés qui profiteraient du système, pendant que les agents hospitaliers ne perçoivent plus leurs primes de garde, de responsabilité ou leur quote-part.

Cette gestion opaque alimente une crise de trésorerie persistante. Résultat : les bus de transport du personnel sont inexistants, rendant leurs déplacements difficiles. Les rares ambulances encore présentes sont hors service depuis plusieurs mois, limitant fortement la capacité d’intervention du centre.

Autre dérive inquiétante : la complaisance supposée de certains syndicalistes, accusés de rester silencieux face aux abus en échange de privilèges, dont l’appropriation de véhicules de service. Une situation qui pèse lourdement sur le moral du personnel et nuit à la qualité des soins.

Tant que ces pratiques perdureront, les chances de redressement du CHREM restent minces. Le risque est grand de voir cet hôpital sombrer davantage, au détriment du droit fondamental des populations à un accès équitable à la santé.

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