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Meiway : “Gabon”, la manifestation d’un amour.

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À travers le titre ” Gabon “, l’Ivoirien Meiway a fait parler son coeur, en exprimant son amour à un Gabon dont il réclamait une étreinte en 1993. D’où la mesure ” Gabon serre-moi “, chanté en refrain dans cette même chanson.

En 1993, Meiway sortait son troisième album ” jamais 203 “. Cette oeuvre musicale riche en couleur par sa variété sonore sortait des studios deux ans après son second album, 200% Zoblazo. Et quatre ans après son premier album, Ayibedou, qui est le point de départ d’une carrière qui est aujourd’hui longue de 30 ans et plusieurs mois. Au cours de ces trente années, le chanteur qui ambiance l’Afrique en agitant les mouchoirs a fait le tour du continent en passant bien des fois par le Gabon. Un pays avec lequel il est lié depuis la sortie de son troisième album.

Dans cet album de 10 titres qui concourt à son apogée, Meiway rend hommage au Gabon à la plage 4. Son hommage à des allures d’un examen de naturalisation. Car, l’artiste prouve qu’il connaît le pays au drapeau tricolore ( vert, jaune et bleu ) de fond en comble. Il sait par exemple classifier les 9 provinces du Gabon. À cela s’ajoute une connaissance des peuples repartis dans la pluralité ethnique du pays. Meiway chante pour un Gabon dont il est tombé amoureux en peu de temps.

La Gabon et les Gabonais ont été réceptif à son appel du coeur. En effet, à la découverte de l’opus le public à tout de suite accroché. Depuis lors, l’artiste a été adopté sans grande difficulté. Il est depuis le fils de l’Estuaire, du Haut-Ogooué, du Moyen-Ogooué, de la Ngounié, de la Nyanga, de l’Ogooué-Ivindo, de L’Ogooué-Lolo, de L’Ogooué-Maritime et du Woleu-Ntem.

Le Gabon serre fort Meiway depuis de l’an 1993. Il séjourne bien souvent sur cette terre d’accueil pour des événements autres que la musique, à l’instar des mariages de certains amis Gabonais. À une certaine époque les allers-retours du Gabonais de coeur entre Abidjan et Libreville faisaient l’objet d’un ” Papato ” ou d’un ” Kongossa ” relatant une histoire d’amour cachée entre ” le Professeur Awôlôwô ” et une ravissante chanteuse Gabonaise du nom de Stéphanie Afène.

Sur ce nous vous laissons apprécier le titre “Gabon”.

Mihi…

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Déguerpissements à Plaine Orety : Ndong Sima face à des usurpateurs qui cherchent à salir son nom ?

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Accusé par certains membres de la société civile d’avoir été à l’origine des récents déguerpissements à la Plaine Orety, l’ancien Premier ministre Raymond Ndong Sima sort de son silence. Dans une mise au point sans détour, il dénonce des propos « infondés » relayés par « des individus en quête de lumière » qui se présentent comme « porte-parole du Président de la République ».

« Le Président a un porte-parole officiel. Il n’a nul besoin d’usurpateurs pour exposer sa pensée », assène-t-il. Et d’ajouter : « Le mélange des genres est toxique. Que chacun reste à sa place ! »

Pour se défendre, Ndong Sima pose trois questions de logique :
« Si j’avais eu les informations sur les personnes déjà dédommagées, pourquoi n’ai-je pas moi-même réquisitionné le génie militaire ? Pourquoi ai-je fait procéder à un inventaire précis ? Pourquoi ai-je saisi le tribunal pour obtenir des ordonnances d’expulsion ? »

L’ancien chef du gouvernement affirme avoir « toujours respecté les procédures » à la tête d’un État de droit, et rappelle qu’il a organisé « de nombreuses réunions sur ce dossier à la Primature ».

Selon lui, « l’accélération du dossier, 30 jours après [son] départ », prouve qu’on le soupçonnait à tort de freiner les projets.

Parti pour raisons de santé le 1er juin, après avoir été « cordialement reçu par le Président », il se dit « en convalescence ».

Il conclut en appelant au respect strict des règles et avertit que « les déclarations irresponsables des membres de la société civile seront portées devant les tribunaux dès [son] retour au Gabon ». Cette mise au point éclaire les tensions autour du dossier Plaine Orety et invite à une gestion responsable et transparente des opérations à venir.

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Didier Ndong reçu par Mouyouma : un retour chez les Panthères se précise

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Le vendredi 13 juin 2025 à Libreville, le sélectionneur national Thierry Mouyouma a rencontré Didier Ndong Ibrahim, milieu de terrain d’Estaghal FC, dans le cadre d’un possible retour du joueur au sein de la sélection nationale. Selon des sources concordantes relayées par Gaboneco, les échanges entre les deux hommes ont été francs et porteurs d’espoir.

Absent depuis plusieurs mois, Ndong aurait présenté ses excuses au sélectionneur et donné son accord de principe pour se conformer aux nouvelles exigences du staff technique des Panthères. Si aucune annonce officielle n’a encore été faite, son retour pourrait intervenir dès la fenêtre internationale de septembre 2025, lors des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026.

Le joueur pourrait ainsi être convoqué pour les deux rencontres déterminantes :

▪︎Seychelles – Gabon, le 1er septembre 2025

▪︎Gabon – Côte d’Ivoire, le 8 septembre 2025

À la suite de cette rencontre, le joueur s’est exprimé publiquement, dans un message teinté de reconnaissance et d’engagement :

« Les rencontres permettent toujours de mettre la lumière sur tout. Merci Sélectionneur, cher Aîné, pour ce moment… Unis, nous vaincrons pour la Nation, notre Vert-Jaune-Bleu. »

Un retour de Didier Ndong marquerait une étape importante dans la reconstruction de l’équipe nationale, avec l’ambition collective de rallier la Coupe du Monde 2026.

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Centre hospitalier régional de Mouila : alerte sur un hôpital à la dérive

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Le Centre hospitalier régional de Mouila (CHREM), censé être une référence sanitaire dans la province de la Ngounié, est aujourd’hui au centre de graves dysfonctionnements. Selon plusieurs témoignages concordants relayés par Gabon Actu, l’établissement souffre d’une gouvernance défaillante, marquée par la magouille, le laxisme et l’impunité, au détriment des usagers et du personnel.

L’enquête signale notamment des dépenses somptuaires et des doublons de factures liés à l’achat d’équipements médico-techniques. Une pratique orchestrée par quelques initiés qui profiteraient du système, pendant que les agents hospitaliers ne perçoivent plus leurs primes de garde, de responsabilité ou leur quote-part.

Cette gestion opaque alimente une crise de trésorerie persistante. Résultat : les bus de transport du personnel sont inexistants, rendant leurs déplacements difficiles. Les rares ambulances encore présentes sont hors service depuis plusieurs mois, limitant fortement la capacité d’intervention du centre.

Autre dérive inquiétante : la complaisance supposée de certains syndicalistes, accusés de rester silencieux face aux abus en échange de privilèges, dont l’appropriation de véhicules de service. Une situation qui pèse lourdement sur le moral du personnel et nuit à la qualité des soins.

Tant que ces pratiques perdureront, les chances de redressement du CHREM restent minces. Le risque est grand de voir cet hôpital sombrer davantage, au détriment du droit fondamental des populations à un accès équitable à la santé.

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