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Fally Ipupa & David Monsoh : Le Retour d’un Duo Légendaire ?
Un événement inattendu a récemment capté l’attention des amateurs de musique : la réunion à Paris de Fally Ipupa, célèbre chanteur congolais, et David Monsoh, son ancien producteur ivoirien, après une longue séparation de 15 ans. La rencontre, immortalisée par une photo diffusée en ligne, marque un tournant potentiel dans leur relation tumultueuse, alimentant les spéculations sur une possible réconciliation et collaboration future.
Fally Ipupa et David Monsoh ont connu une collaboration fructueuse dans les années 2000, produisant ensemble des albums acclamés comme Droit Chemin, Arsenal des Belles Mélodies, et Power Kosa Leka. Leur séparation en 2012 a mis fin à une période de succès partagés, mais la récente réunion pourrait signaler un renouveau dans leur dynamique professionnelle.
Une Réconciliation Prometteuse ?
La photo partagée sur les réseaux sociaux montre les deux hommes échangeant des sourires et affichant une complicité retrouvée, laissant espérer une reprise de leur collaboration. Si les détails de leur réunion restent encore à préciser, l’accueil enthousiaste des fans et des observateurs indique une possible renaissance de leur partenariat.
Alors que le futur reste incertain, cette rencontre ravive les espoirs de voir les deux artistes unir à nouveau leurs talents. Les prochaines semaines pourraient révéler des annonces importantes concernant une éventuelle collaboration.
Les Déclarations Passées de Fally Ipupa
Pour comprendre la portée de cette réconciliation, il est essentiel de se remémorer les tensions qui avaient marqué la fin de leur collaboration. En 2017, lors de l’émission C’midi sur la télévision ivoirienne, Fally Ipupa avait exprimé ses critiques acerbes envers David Monsoh :
« On a collaboré ensemble. Ça a été une réussite. Moi, j’étais un artiste qui voulait sortir son premier album. Lui, il produisait des artistes mais il n’était pas encore connu, il ne s’était pas affirmé en tant que producteur. C’est le premier projet qui fait de lui un grand producteur et moi un grand artiste. »
Fally Ipupa avait également exprimé son désaccord avec Monsoh sur leur séparation : « Non, on ne se parle plus parce que moi j’aime le vrai. On ne peut pas travailler ensemble, mais il ne faut pas torpiller son artiste. Il faut être vrai dans la vie. »
Il avait ajouté : « Il ne voulait pas qu’on se sépare et il a commencé à me torpiller. […] Ça ne sert à rien de torpiller quelqu’un avec qui vous avez travaillé. »
Ces déclarations avaient illustré la rupture profonde entre les deux hommes, mais la récente rencontre semble indiquer une volonté de tourner la page.
Vers un Nouveau Chapitre ?
La réconciliation entre Fally Ipupa et David Monsoh pourrait être le prélude à une nouvelle phase pour ces figures emblématiques de la musique africaine. La communauté musicale attend avec impatience les prochaines étapes de cette possible renaissance artistique. Si la rencontre se traduit par une nouvelle collaboration, cela pourrait marquer le début d’une ère prometteuse pour les deux artistes et leurs nombreux admirateurs.
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Déguerpissements à Plaine Orety : Ndong Sima face à des usurpateurs qui cherchent à salir son nom ?
Accusé par certains membres de la société civile d’avoir été à l’origine des récents déguerpissements à la Plaine Orety, l’ancien Premier ministre Raymond Ndong Sima sort de son silence. Dans une mise au point sans détour, il dénonce des propos « infondés » relayés par « des individus en quête de lumière » qui se présentent comme « porte-parole du Président de la République ».
« Le Président a un porte-parole officiel. Il n’a nul besoin d’usurpateurs pour exposer sa pensée », assène-t-il. Et d’ajouter : « Le mélange des genres est toxique. Que chacun reste à sa place ! »
Pour se défendre, Ndong Sima pose trois questions de logique :
« Si j’avais eu les informations sur les personnes déjà dédommagées, pourquoi n’ai-je pas moi-même réquisitionné le génie militaire ? Pourquoi ai-je fait procéder à un inventaire précis ? Pourquoi ai-je saisi le tribunal pour obtenir des ordonnances d’expulsion ? »
L’ancien chef du gouvernement affirme avoir « toujours respecté les procédures » à la tête d’un État de droit, et rappelle qu’il a organisé « de nombreuses réunions sur ce dossier à la Primature ».
Selon lui, « l’accélération du dossier, 30 jours après [son] départ », prouve qu’on le soupçonnait à tort de freiner les projets.
Parti pour raisons de santé le 1er juin, après avoir été « cordialement reçu par le Président », il se dit « en convalescence ».
Il conclut en appelant au respect strict des règles et avertit que « les déclarations irresponsables des membres de la société civile seront portées devant les tribunaux dès [son] retour au Gabon ». Cette mise au point éclaire les tensions autour du dossier Plaine Orety et invite à une gestion responsable et transparente des opérations à venir.
Le vendredi 13 juin 2025 à Libreville, le sélectionneur national Thierry Mouyouma a rencontré Didier Ndong Ibrahim, milieu de terrain d’Estaghal FC, dans le cadre d’un possible retour du joueur au sein de la sélection nationale. Selon des sources concordantes relayées par Gaboneco, les échanges entre les deux hommes ont été francs et porteurs d’espoir.
Absent depuis plusieurs mois, Ndong aurait présenté ses excuses au sélectionneur et donné son accord de principe pour se conformer aux nouvelles exigences du staff technique des Panthères. Si aucune annonce officielle n’a encore été faite, son retour pourrait intervenir dès la fenêtre internationale de septembre 2025, lors des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026.
Le joueur pourrait ainsi être convoqué pour les deux rencontres déterminantes :
▪︎Seychelles – Gabon, le 1er septembre 2025
▪︎Gabon – Côte d’Ivoire, le 8 septembre 2025
À la suite de cette rencontre, le joueur s’est exprimé publiquement, dans un message teinté de reconnaissance et d’engagement :
« Les rencontres permettent toujours de mettre la lumière sur tout. Merci Sélectionneur, cher Aîné, pour ce moment… Unis, nous vaincrons pour la Nation, notre Vert-Jaune-Bleu. »
Un retour de Didier Ndong marquerait une étape importante dans la reconstruction de l’équipe nationale, avec l’ambition collective de rallier la Coupe du Monde 2026.
Le Centre hospitalier régional de Mouila (CHREM), censé être une référence sanitaire dans la province de la Ngounié, est aujourd’hui au centre de graves dysfonctionnements. Selon plusieurs témoignages concordants relayés par Gabon Actu, l’établissement souffre d’une gouvernance défaillante, marquée par la magouille, le laxisme et l’impunité, au détriment des usagers et du personnel.
L’enquête signale notamment des dépenses somptuaires et des doublons de factures liés à l’achat d’équipements médico-techniques. Une pratique orchestrée par quelques initiés qui profiteraient du système, pendant que les agents hospitaliers ne perçoivent plus leurs primes de garde, de responsabilité ou leur quote-part.
Cette gestion opaque alimente une crise de trésorerie persistante. Résultat : les bus de transport du personnel sont inexistants, rendant leurs déplacements difficiles. Les rares ambulances encore présentes sont hors service depuis plusieurs mois, limitant fortement la capacité d’intervention du centre.
Autre dérive inquiétante : la complaisance supposée de certains syndicalistes, accusés de rester silencieux face aux abus en échange de privilèges, dont l’appropriation de véhicules de service. Une situation qui pèse lourdement sur le moral du personnel et nuit à la qualité des soins.
Tant que ces pratiques perdureront, les chances de redressement du CHREM restent minces. Le risque est grand de voir cet hôpital sombrer davantage, au détriment du droit fondamental des populations à un accès équitable à la santé.