Connect with us

Events

Côte d’Ivoire : Les remerciements de Josey, après son concert au Palais de la culture de Treichville

Publié il y a

le

par

Invitée sur Trace Côte d’Ivoire, le 25 février dernier, Josey annonçait son concert live inédit pour la date du 26 juin 2021, au Palais de la culture de Treichville. Arrivée à la date indiquée, la promesse a été tenue dans une ambiance délirante. Heureuse d’avoir réussi son pari, Josey remercie Dieu, sa Nation, Dominique Ouattara ( Première Dame ), le gouvernement Patrick Achi, ses collègues artistes et les partenaires de l’événement. Ces remerciements rendus publics sur la toile, le 27 juin, par le canal des ses réseaux-sociaux, montre à quel point Josey est sincère et reconnaissante.

<< Merci JÉSUS
Côte d’Ivoire
Ma Nation, Ma Patrie
Tu es et tu resteras pour toujours et à jamais MA FIERTÉ
Tu m’as vu naître, tu m’as nourri, tu m’as vu grandir

Pour t’honorer, Je ne me lasserai pas de donner de ma plus belle voix , pour qu’à ton tour, tu sois aussi fière de moi
Grand Merci à Madame La Première Dame de Côte d’Ivoire Mme Dominique Ouattara
– À M. Patrick Achi , Premier Ministre, chef du gouvernement
-À M.Kobenan Kouassi ADJOUMANI,Ministre d’État ,Ministre de l’agriculture et du développement rural et son épouse
– À Madame Anne Desirée Ouloto , Ministre de la Fonction Publique et de la Modernisation de l’administration
-À Maitre Adama Camara,
Ministre de l’emploi et de la protection sociale
-À Madame Myss Belmonde Dogo, Ministre de la solidarité et de la lutte contre la pauvreté
– À Madame Nasseneba Touré , Ministre de la femme , de la famille et de l’enfant
-À Madame Patricia Yao, Directrice de cabinet de Madame la Première Dame
– À Madame Amy Toungara, Député de Treichville
– À  Madame Mariam Traoré , député de Tengrela
-À Madame Ehui, conseiller économique et social
– À Madame M’Bahia , DGA des Impôts
– Au grand frère Asalfo
Merci est un bien petit mot pour m’avoir reçu
Et m’avoir honoré de votre présence, malgré les caprices de dame Nature
Que DIEU VOUS LE RENDE À L’INFINI

Ensuite mes remerciements vont à l’endroit de tous nos partenaires :
– Orange
– TRACE Côte d’Ivoire
– Aréel Groupe
– Air Côte d’Ivoire Officiel
– Solibra.ci
– A+ IVOIRE
– La 3 officiel
– Pullman Abidjan
– Palm Club Hôtel
– NCI – La Nouvelle Chaîne Ivoirienne
– VIBE RADIO Côte D’Ivoire
– FREQUENCE 2
Ainsi que tous nos medias partenaires
– ABIDJANSHOW.COM
– IRIS Medias
– Observatoire de la Musique et des Arts CI ( OMACI )
Si j’ai oublié quelqu’un ne vous fâchez pas oh svp Comprenez moi
Grand Merci à vous tous mes fans , vous qui avez cru en moi et m’avez démontré votre amour
Vous avez tout subi pour moi mais vous êtes restés.
Il a plu , vous n’avez pas reculé quit même à entonner des cantiques de louange
On peut aimer son artiste comme ça ?
On l’a fait les gars
J’espère que vous avez aimé votre spectacle
Je vous demande pardon pour tous les ratés
C’était notre première fois, on corrigera si DIEU nous donne une autre opportunité de refaire

MERCI >>


https://www.facebook.com/996667257018733/posts/4388711124480979/?app=fbl

Mihi…

Advertisement
Commenter

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Events

Après Mackjoss, Créol perd sa mère : la musique gabonaise en deuil avec elle

Publié le

le

par

La chanteuse gabonaise Créol, figure marquante de la musique urbaine au Gabon, traverse une nouvelle épreuve. Dans la matinée du mardi 4 novembre, la nouvelle du décès de sa mère a bouleversé la toile. Quelques heures plus tard, l’artiste a confirmé la triste information en publiant une couverture noire sur ses réseaux sociaux, un geste symbolique pour annoncer la disparition de celle qui comptait tant pour elle.

Une nouvelle perte après celle de son père, Mackjoss

En 2018, Créol perdait déjà son père, Mackjoss, monument de la musique gabonaise. Cette disparition avait profondément marqué la chanteuse, qui n’a cessé, depuis, de manifester son amour et sa reconnaissance envers sa mère. Elle confiait souvent que sa principale motivation dans la vie était de la rendre fière et de l’aider autant que possible. Ces dernières années, elle s’était d’ailleurs rendue à plusieurs reprises en France pour accompagner sa mère dans ses traitements médicaux.

Malgré ses efforts et sa présence constante, le destin en a décidé autrement. Sa mère s’en est allée, laissant un grand vide dans la vie de l’artiste.

Une vague d’émotions et de solidarité dans le monde artistique

La nouvelle du décès a suscité une forte vague de soutien dans le milieu culturel gabonais. Sur les réseaux sociaux, de nombreux artistes et acteurs du showbiz ont exprimé leur compassion à l’endroit de Créol.

Des messages de solidarité ont été publiés notamment par Afrik’an Legend, Shan’l, ou encore Espoir la Tigresse, qui, malgré les tensions passées entre les deux chanteuses, a tenu à adresser un message empreint d’humanité :

« Perdre une mère, je connais cette douleur. C’est une étape que je ne souhaite à personne, car c’est tellement difficile ! Toutes mes condoléances à toi et à toute ta famille. »

Ces témoignages rappellent que, malgré les rivalités artistiques, l’unité et la compassion demeurent des valeurs fortes dans la sphère culturelle gabonaise.

Un parcours marqué par la résilience

Ce deuil vient s’ajouter à d’autres pertes douloureuses pour l’artiste. Il y a trois ans, Créol avait déjà été profondément affectée par le décès d’un membre de son staff très proche, ce qui l’avait poussée à s’éloigner temporairement de la scène.

Son retour artistique, amorcé il y a un peu plus d’un an, s’était pourtant fait sous le signe du renouveau avec plusieurs singles réussis et l’annonce d’un album intitulé “UNIK”, attendu par ses fans. Ce projet, qui devait marquer une nouvelle étape dans sa carrière, pourrait être retardé, le temps pour l’artiste de se relever de cette nouvelle épreuve.

La rédaction d’Akûm Infos solidaire

Dans ce moment de grande tristesse, la rédaction d’Akûm Infos adresse ses plus sincères condoléances à Créol et à toute sa famille, tout en saluant son courage et sa détermination à poursuivre son chemin artistique malgré les épreuves.

Continue Reading

Events

YÊMÏ / Investir dans la recherche scientifique : l’AREF, catalyseur de l’excellence scientifique en Afrique

Publié le

le

par

Cette semaine, YÊMÏ, présentée par L’OPS avec le concours du Dr Angué Marcia épouse Pemengoye, médecin conseil de l’émission et traductrice en anglais pour l’un des invités, s’est penché sur les défis du financement et du développement de la recherche scientifique en Afrique centrale. L’émission a mis en lumière le rôle de l’Africa Research Excellence Fund (AREF) dans le soutien aux chercheurs locaux et la promotion de la recherche francophone de qualité.

L’émission a accueilli Dr. Judicaël Obame Nkoghe, enseignant-chercheur au département de Biologie de l’USTM, ancien bénéficiaire des programmes AREF et membre du collège des experts de l’organisation, ainsi que Dr. Duke Dawn, responsable du développement des chercheurs au sein de l’AREF. Leur entretien s’inscrivait dans le cadre du lancement du Programme francophone de rédaction de demandes de subvention de l’AREF, destiné à renforcer les capacités locales et soutenir l’émergence de talents scientifiques africains.

Une formation internationale et collaborative

La formation, qui s’est déroulée du 13 au 17 octobre, combinait sessions présentielles et ateliers en ligne, répartis en huit modules interactifs de trois heures chacun. Elle a rassemblé des chercheurs gabonais issus de l’USTM, du CIRMF, de l’IMIPDG, de l’USS, du CHUMFEJE et du CERMEL de Lambaréné, ainsi que des participants francophones venus de République Démocratique du Congo, de Centrafrique et du Sénégal.

Cette approche mixte a favorisé l’échange de compétences et d’expériences entre chercheurs, tout en s’adaptant aux contraintes géographiques et logistiques propres au continent africain.

L’AREF : soutenir et structurer la recherche africaine

Pour Dr. Duke Dawn, l’AREF place les talents africains au centre de son action :

« L’AREF agit comme une plateforme ouverte, attentive aux initiatives des chercheurs africains. Nous ne dictons pas les thèmes de recherche, nous accompagnons là où ils excellent déjà. »

Le Dr Angué Marcia souligne :

« L’organisation met à disposition des programmes de financement et des formations pour renforcer les capacités des chercheurs, afin de promouvoir la recherche en Afrique, par les Africains et pour l’Afrique. »

Ainsi, l’AREF ne se limite pas au financement : il offre un cadre structurant permettant aux chercheurs de valoriser leurs projets et de développer leurs compétences dans un environnement compétitif.

Défis et perspectives pour la recherche au Gabon

Pour Dr. Judicaël Obame Nkoghe, le principal obstacle reste le manque de financement et l’absence d’un écosystème structuré :

« Sans un environnement favorable à l’éclosion des talents, il est difficile pour les chercheurs de connaître les opportunités, notamment celles liées aux appels à projets internationaux. »

Il insiste également sur le rôle essentiel du secteur privé :

« Le potentiel du secteur privé au Gabon est largement sous-exploité dans la recherche. Des partenariats public-privé structurés pourraient réduire notre dépendance aux financements externes. »

Selon lui, la mobilisation conjointe des acteurs publics et privés est indispensable pour bâtir une recherche locale durable, capable de répondre aux besoins locaux tout en restant compétitive à l’international.

Priorité aux problématiques locales et aux maladies négligées

Dr. Judicaël Obame Nkoghe rappelle que le financement local permet de répondre directement aux priorités nationales :

« Si le financement venait du Gabon, il serait possible d’insérer des objectifs ciblant les problématiques locales, notamment les maladies tropicales négligées. »

Ces maladies, souvent ignorées par les bailleurs internationaux, constituent un enjeu majeur de santé publique. L’Ops souligne que le soutien local est essentiel pour transformer la recherche en impacts concrets sur la population.

Un appel aux autorités et à la société

Pour Dr. Duke Dawn, les chercheurs africains ont besoin d’un accompagnement structuré, financier et technique :

« Les chercheurs africains sont brillants, ils ont simplement besoin d’un accompagnement structuré pour s’épanouir dans un environnement compétitif. »

Dr. Judicaël Obame Nkoghe complète :

« L’avenir de la recherche en Afrique repose sur une chaîne de volontés : autorités publiques, jeunes chercheurs et entreprises doivent agir ensemble pour que la science devienne un levier de développement. »

Lors de la cérémonie de lancement, il avait également souligné la nécessité de créer des structures nationales solides :

« Avec une vision nationale, nous pourrions fédérer les talents locaux et internationaux et réaliser des merveilles. »

Conclusion

YÊMÏ rappelle que l’Afrique possède un capital scientifique immense, qu’il est urgent de mobiliser pleinement. Comme le résume L’OPS :

« L’Afrique innove, oui, mais elle a surtout besoin que nous croyions en son intelligence collective. »

La formation organisée par l’AREF démontre que l’investissement dans les chercheurs africains peut renforcer les capacités locales, stimuler la collaboration internationale et transformer la recherche scientifique en outil stratégique pour le développement durable du continent.

Continue Reading

Events

Présidentielle au Cameroun : Brice-Clotaire Oligui Nguema félicite Paul Biya pour sa réélection et appelle à la paix

Publié le

le

par

Libreville, 28 octobre 2025 — Le président de la République gabonaise, Brice-Clotaire Oligui Nguema, a adressé lundi un message de félicitations à son homologue camerounais Paul Biya, réélu pour un huitième mandat à la tête du Cameroun à l’âge de 92 ans. Dans une publication sur ses réseaux sociaux, le chef de l’État gabonais a salué « l’expression souveraine du peuple camerounais » et a appelé à la préservation de la stabilité dans la sous-région.

« Je tiens à adresser, au nom du peuple gabonais et en mon nom propre, mes félicitations à Son Excellence Paul Biya pour sa réélection à la magistrature suprême du Cameroun. Ce résultat, proclamé par le Conseil constitutionnel, traduit l’expression souveraine du peuple camerounais et marque une nouvelle étape dans la continuité institutionnelle de ce pays frère », a écrit Brice-Clotaire Oligui Nguema.

Dans un ton empreint de diplomatie et de prudence, le président gabonais a également appelé à la retenue et au dialogue dans un contexte de tensions post-électorales. « En ces moments décisifs, j’en appelle à la sérénité et à la préservation de la paix. Le Cameroun est une nation essentielle à la stabilité de notre sous-région ; il est donc de notre devoir collectif d’encourager l’unité et la cohésion afin que ce nouveau mandat s’inscrive sous le signe de la paix et du progrès partagé », a-t-il ajouté.

Au Cameroun, le Conseil constitutionnel a officiellement proclamé la victoire de Paul Biya avec 53,66 % des voix, contre 35,19 % pour son principal adversaire, Issa Tchiroma Bakary. Élu pour la première fois en 1984, le président Biya entame ainsi son huitième mandat à la tête du pays.

Mais ces résultats sont vivement contestés par Issa Tchiroma Bakary, qui affirme avoir remporté l’élection avec 54,8 % des suffrages selon son propre décompte. L’opposant a dénoncé « une mascarade » et a appelé ses partisans à « défendre la vérité des urnes ». Selon l’AFP, des manifestations ont éclaté à Douala et à Garoua, faisant plusieurs morts et blessés. Des affrontements entre les forces de l’ordre et les manifestants ont également été signalés à la veille de la proclamation des résultats.

Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme a réagi lundi en appelant « à la retenue, à l’ouverture d’enquêtes et à la fin des violences », après avoir reçu des informations faisant état de morts, de blessés et d’arrestations dans plusieurs villes.

Alors que la communauté internationale observe la situation avec inquiétude, le message du président gabonais s’inscrit dans une volonté d’apaisement et de coopération régionale. En saluant la « continuité institutionnelle » au Cameroun tout en soulignant l’importance de la paix, Brice-Clotaire Oligui Nguema adopte une position équilibrée, conforme à la ligne diplomatique de Libreville, axée sur la stabilité et la concertation entre États frères d’Afrique centrale.

Continue Reading