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Moon rebondit chez B&L Management
Moon est depuis quelques jours la nouvelle signature du label B&L Management. L’information nous a été confiée par MC Bright, en sa qualité de producteur de l’artiste.

Au courant de l’année 2020, le bail qui liait Moon au label Negrattitude a pris fin, après plus de 5 ans ( 2015-2020 ) de collaboration. C’est par le moyen d’un post sur la toile que nous avions eu cette information à l’époque. Information qui avait d’ailleurs été confirmée par le manager général du label, Prince BOUSSOMBO. Dès lors, l’artiste était libre de tout engagement.
Des mois après ce douloureux épisode, Moon annonçait son retour dans une autre structure sans donner la moindre précision. Pas plus tard que ce 06, du mois du février, une source bien informée nous informait de ce que Moon était la nouvelle recrue du label B&L Management. Surpris par cette information, nous avons pris le soin de contacter l’un des cadors de ce label Port-Gentillais récemment basé à Libreville, en l’occurrence MC Bright, pour qu’il nous en dise un peu plus. << Oui, Moon est bel et bien la nouvelle signature de B&L Management. Pour être plus précis, je peux vous dire qu’elle est des nôtres depuis ce 06 février >>, déclare t-il.
La signature de Moon chez B&L Management ne saurait tarder à être mis avant avec la sortie d’un single. À ce sujet, MC Bright nous informe que le single paraîtra ce 14 février. Nous y reviendrons !
Mihi…

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Législatives 2025 : Brice-Constant Paillat, l’atout maître de l’UDB à Lastourville entre expertise d’État et enracinement local

À l’approche des scrutins législatifs et locaux de 2025, l’Union Démocratique des Bâtisseurs (UDB) a officialisé le 3 août dernier la liste de ses candidats. Parmi eux, une figure retient particulièrement l’attention : Brice-Constant Paillat, investi pour le premier siège de la circonscription de Lastourville. Son profil incarne la synthèse entre une solide carrière au sein de l’administration publique et un engagement local constant, faisant de lui un des atouts majeurs de l’UDB dans cette campagne.
Né en 1968 à Moanda (Haut-Ogooué) et originaire de Lastourville (Ogooué-Lolo), Brice Paillat est issu de cette génération de hauts fonctionnaires formés au Gabon et profondément enracinés dans les réalités locales. Diplômé en droit public de l’Université Omar-Bongo (1993), il intègre ensuite l’École nationale d’administration de Libreville, dont il sort major de la 14ᵉ promotion en tant qu’administrateur civil.
Son parcours dans l’administration gabonaise est à la fois long et éclectique. De la Fonction publique aux Transports, en passant par l’Équipement, la Santé, le Travail ou encore la compagnie nationale Air Gabon, il a successivement été chargé d’études, directeur de cabinet, directeur des ressources humaines, conseiller financier, puis directeur général de la Modernisation de l’État. Avant son entrée au gouvernement en 2020, il occupait le poste stratégique de secrétaire général de l’Assemblée nationale.
Mais au-delà de sa carrière étatique, Brice Paillat s’est illustré par sa proximité avec le terrain. Depuis plusieurs années, il multiplie les actions sociales à Lastourville : financement de permis de conduire pour de nombreux jeunes, amélioration de l’éclairage public avec l’installation de 22 lampadaires solaires dans des lieux clés de la ville — du centre médical au lycée Jean-Arsène Bounguendza, en passant par la gare routière, la CNSS, le CLAC ou encore la Gendarmerie. Ces initiatives traduisent un engagement concret en faveur du développement local et de la sécurité.
Ancien cadre du Parti Démocratique Gabonais (PDG), Brice-Constant Paillat incarne aujourd’hui le renouveau porté par l’UDB, le parti du Président de la République, Brice-Clotaire Oligui Nguema. À travers les idéaux d’inclusivité, de développement et de félicité défendus par l’UDB, il entend mettre son expérience au service d’un projet de reconstruction nationale.
Dans un contexte de recomposition politique, la candidature de Brice-Constant Paillat se présente comme un point d’équilibre entre technocratie assumée, loyauté républicaine et enracinement territorial. Un profil taillé pour défendre, avec crédibilité et efficacité, les intérêts de Lastourville à l’Assemblée nationale.
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Angélique Kidjo, première chanteuse africaine à recevoir une étoile à Hollywood

L’icône béninoise Angélique Kidjo a récemment été sélectionnée pour recevoir une étoile sur le mythique Hollywood Walk of Fame en 2026. Elle devient la première artiste vocale africaine à figurer sur cette célèbre avenue, aux côtés de 35 autres personnalités retenues cette année par la Chambre de commerce de Hollywood.
Kidjo rejoint ainsi les figures africaines Lupita Nyong’o, Charlize Theron et Basil Rathbone, déjà immortalisées sur le trottoir légendaire entre Hollywood Boulevard et Vine Street.
Cette distinction s’ajoute à une carrière exceptionnelle, marquée par cinq Grammy Awards, le Polar Music Prize en 2023 et des prestations marquantes comme celle du Festival de jazz de la Défense, ou encore son concert en hommage à Jimmy Carter à Atlanta.
Mais Angélique Kidjo, c’est aussi une voix engagée. Ambassadrice de l’UNESCO, elle dirige la fondation Batonga qui soutient l’éducation des adolescentes africaines. Artiste hyper-sensible, elle affirme transformer ses émotions en messages d’espoir :
« À travers ma musique, j’ai toujours réussi à transformer ma sensibilité en un message d’espoir et de force pour chacun d’entre nous. »
Elle confiait récemment combien sa mère, disparue en 2021, lui manquait terriblement. Elle aurait aimé l’avoir à ses côtés lors de l’inauguration à Los Angeles.
Pour celle que Myriam Makeba appelait « la reine de la musique africaine », chaque distinction est une responsabilité :
« Vous recevez un prix, et il faut continuer le travail après. »
Son étoile vient ainsi célébrer l’Afrique, la musique, l’humanité — et une femme qui inspire.
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Mbilia Bel : “Koffi Olomidé a saboté ma vie personnelle et professionnelle”

La chanteuse congolaise Mbilia Bel est sortie du silence pour expliquer la source de ses tensions avec Koffi Olomidé. Dans un témoignage sans détour, elle retrace une série d’actes de sabotage qu’elle lui attribue, remontant jusqu’en 1995.
« Les mésententes ont commencé quand je suis allée chanter à Kisangani. Il a envoyé des gens hurler que j’avais le SIDA, oubliant que je suis aussi une enfant de Kisangani », déclare-t-elle.
La chanteuse évoque ensuite une interférence dans sa vie sentimentale. Un homme béninois intéressé par elle aurait été découragé par Koffi, qui lui aurait dit qu’elle était « trop vieille » et « ne le méritait pas ». L’homme est ensuite venu tout lui raconter.
Le troisième incident, encore plus marquant, se serait produit alors qu’elle était mariée au Gabon. Selon Mbilia Bel, Koffi Olomidé aurait contacté son époux pour lui dire qu’elle était infidèle et qu’il « gaspillait son argent ». Résultat : l’homme l’a quittée.
À cela s’ajoutent d’autres actes qu’elle qualifie de « méchancetés », comme des interventions dans certaines ambassades pour l’empêcher d’obtenir des visas.
Mbilia Bel conclut avec une question amère : « Parfois, tu te demandes : qu’est-ce que je lui ai fait, pour qu’il cherche toujours à me nuire comme ça ? »
Un témoignage rare qui lève le voile sur une hostilité ancienne et profonde entre deux figures majeures de la musique congolaise.