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Josey et Hiro enchantent en Ingala : L’Amour au Cœur de la Rumba urbaine

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La musique africaine continue de transcender les frontières culturelles grâce à des collaborations artistiques impressionnantes. Dans cette mélodie captivante, la chanteuse ivoirienne Josey s’associe à Hiro pour nous offrir “Na Lingui Yo (je t’aime)”, une chanson en ingala, la langue de l’amour. Cette création musicale, produite par Schama Production, le label dirigé par le mari de Josey, Serey Edie, fait ressortir la beauté de l’amour dans le cadre envoûtant de la rumba urbaine. Plongeons dans cette harmonie culturelle et musicale unique.

La collaboration entre Josey et Hiro témoigne de la capacité de la musique à transcender les frontières nationales et linguistiques. La chanteuse ivoirienne a déjà montré sa polyvalence en chantant en ingala, une langue peu courante dans le monde de la musique contemporaine. Sa précédente collaboration avec Ferré Gola avait déjà attiré l’attention sur sa capacité à maîtriser des langues différentes pour exprimer l’amour à travers la musique.

La chanson “Na Lingui Yo (je t’aime)” est une expression sincère de l’amour, imprégnée de la mélodie envoûtante de la rumba urbaine. Ce style musical, qui mélange subtilement des éléments traditionnels et modernes, crée une toile de fond idéale pour les paroles passionnées de la chanson. La voix de Josey et celle d’Hiro se fondent harmonieusement pour transmettre l’émotion brute de l’amour, transcendant les barrières linguistiques pour toucher les cœurs de tous les auditeurs.

Schama Production, dirigée par Serey Edie, le mari de Josey, mérite également une mention spéciale pour avoir soutenu cette collaboration musicale exceptionnelle. Leur contribution a permis de réaliser un projet qui célèbre la diversité culturelle et linguistique de l’Afrique tout en offrant une expérience musicale inoubliable.

La chanson “Na Lingui Yo (je t’aime)” est un exemple inspirant de la façon dont la musique peut rassembler des artistes de différentes régions, langues et cultures pour créer quelque chose de magnifique. Josey, Hiro et Schama Production ont réussi à fusionner la richesse de l’ingala avec le charme de la rumba urbaine pour nous offrir une chanson qui parle d’amour d’une manière unique et captivante. Cette collaboration est un hommage à la créativité et à la diversité de la musique africaine, tout en rappelant que l’amour est un langage universel qui peut être compris et ressenti par tous.

Mihi…

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« On est degba » : Magic System questionne l’amitié à l’épreuve de la trahison

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Toujours fidèle à sa vocation de chroniqueur social, Magic System signe son retour avec « On est degba », un titre qui ausculte sans détour les fractures au sein des relations humaines. Premier single extrait de leur 12ᵉ album Doni, doni, déjà disponible, cette chanson marque une nouvelle étape dans la carrière du groupe ivoirien, qui célèbre cette année 30 ans de présence sur la scène musicale africaine.

Dans On est degba, Magic System met en lumière la trahison dans l’amitié, ces liens rompus par les non-dits, les confidences dévoilées et les changements d’alliance. Les paroles, ancrées dans le vécu quotidien, interpellent : « Même si aujourd’hui on ne se parle plus, est-ce une raison pour devenir mon sorcier ? » ou encore « Nos ennemis sont devenus ses amis ». Une écriture directe qui rappelle la capacité du groupe à transformer les réalités sociales en messages universels.

Deux jours après la publication du clip officiel, « On est degba » cumule moins de 250 000 vues sur YouTube. Un chiffre qui, bien que provisoire, pourrait évoluer pour mieux refléter l’aura de Magic System, dont la longévité continue de fédérer plusieurs générations de mélomanes.

Ce premier extrait annonce l’album Doni, doni, un projet de 12 titres déjà sorti, dont le titre, signifiant doucement, doucement, résume un parcours bâti dans la patience et la persévérance. Né à Anoumabo, quartier populaire d’Abidjan, Magic System a traversé les échecs et la débrouille avant d’imposer son zouglou sur les scènes africaines et internationales.

Le projet aborde des thématiques variées telles que la religion, l’émigration clandestine, l’argent, avec pour fil conducteur l’amitié, pilier central de l’album. Pour se renouveler, le groupe s’est entouré d’artistes de la nouvelle génération, notamment Didi B, Tamsir et Noémie, dans une dynamique de brassage artistique visant à apporter un regard neuf à sa musique.

Fidèle à une stratégie progressive, Magic System a choisi de ne pas dévoiler les visuels d’un seul bloc. Chaque titre de l’album bénéficiera de son clip, publié au fil des semaines, laissant au public le temps de s’approprier pleinement le projet.

Un retour plus approfondi sur l’album Doni, doni, ses collaborations et sa direction artistique sera proposé dans un prochain article, au moment où Magic System poursuit son dialogue musical avec son public, trois décennies après ses débuts.

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L’Oiseau Rare dévoile “Bonjour” et prépare un show d’envergure pour le 20 décembre

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Figure incontournable de la Ntcham, L’Oiseau Rare continue de marquer la scène musicale gabonaise. Entre projets successifs et prestations scéniques, l’artiste s’impose comme l’un des visages les plus actifs du moment. Le 20 décembre prochain, il est attendu au Palais des Sports de Libreville pour un spectacle annoncé comme l’un des temps forts de l’année, avec l’ambition de rééditer le succès de 2024 devant des milliers de spectateurs.

Une préparation sous forme de mini-festival

Pour offrir à son public un rendez-vous mémorable, L’Oiseau Rare a imaginé une préparation inédite : une série de petites scènes ouvertes destinées à révéler de jeunes talents. Porté par le label Mario d’Africa Dream, le projet a sillonné plusieurs quartiers de Libreville avant de s’achever ce vendredi 12 décembre et samedi 13 décembre à Akanda, Belle Vue et au PK7.
Une approche qui traduit la volonté de l’artiste de partager la scène, mais aussi de créer une dynamique communautaire autour de la Ntcham.

“Bonjour”, un single introspectif tourné à Dubaï

Cette démarche artistique trouve un écho dans son nouveau single “Bonjour”, extrait de son album Afro Ntcham 2. Le clip, tourné dans le désert de Dubaï, aborde des thèmes forts : l’ingratitude dans certaines relations personnelles comme professionnelles, notamment au sein de l’industrie musicale.

Fidèle à ses convictions, L’Oiseau Rare évoque également sa foi, lui qui affirme publiquement appartenir à la religion musulmane. Dans un passage marquant, il confie :
« Personne n’est parfait, je construis mon avenir avec ce que j’ai fait à l’imparfait. »
Puis ajoute :
« Il n’y a que la prière qui peut me sauver. »

Un ton posé, une plume affirmée, et un album lancé

Avec ce titre au rythme moins intense mais chargé d’émotions, L’Oiseau Rare entend démontrer qu’il maîtrise autant le flow que l’écriture. Afro Ntcham 2 s’ouvre ainsi sur une tonalité introspective, donnant le ton pour la suite du projet.
Le public devrait d’ailleurs découvrir plusieurs titres de l’album sur scène lors du spectacle tant attendu du 20 décembre.

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Rodikx déclare la guerre au rap gabonais : qui répondra ?

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Avec son nouveau titre “À la guerre comme à la guerre”, Rodikx revient au premier plan et ravive les tensions au sein du rap gabonais. Alors que la Côte d’Ivoire vit une période marquée par les clashs, l’artiste installé à Dakar depuis plusieurs années signe un come-back agressif qui fait immédiatement réagir les fans et observateurs du milieu. Longtemps absent du pays, il revient en frappant fort, ciblant sans distinction les figures historiques comme les nouvelles têtes d’affiche.

Dès les premières attaques, Rodikx se tourne vers les anciens. Il pointe du doigt Kôba, revenu brièvement après 11 ans d’absence, accusé de manquer de respect à son mentor Ba’ponga. Il rappelle aussi le lien que Kôba entretient avec l’ancien régime d’Ali Bongo, un élément qu’il utilise pour questionner la loyauté et la droiture des artistes.

L’artiste poursuit en égratignant M.O.R et Marless, qui, après avoir lancé des piques au rappeur ivoirien Didi B, ont finalement accepté d’assurer sa première partie lors de son concert à Libreville. Pour Rodikx, cette attitude manque de cohérence et d’honneur, deux valeurs qu’il estime essentielles à la scène rap.

Le courant Ntcham, aujourd’hui incontournable dans l’urbain gabonais, n’est pas épargné. Rodikx fait référence au bad buzz d’Eboloko, évoque la montée rapide de Dementos, perçue comme une menace pour le leadership de L’Oiseau Rare, et critique la collaboration de NG Bling avec Tukinkin, qu’il interprète comme une quête de visibilité après une baisse de régime.

“Je vais vous manger un à un”, lâche-t-il, déterminé à s’imposer. Sa cible suivante est E.J, artiste Ntcham et beatmaker, moqué pour ses fréquentes apparitions en état d’ivresse : “T’es alcoolique ou t’es artiste ?”

Si les réactions se font attendre du côté des artistes cités, Marless a déjà commenté, non sans ironie : “Pousses encore, c’est pas encore ça mais bravo quand même pour le concept.”

Moins de 72 heures après la sortie, les réseaux s’enflamment. Qu’on le soutienne ou qu’on le critique, une chose est indéniable : Rodikx vient de redonner un souffle nouveau et un véritable débat au rap gabonais.

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