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Delpega : “Pamela”

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Depelga, le jeune (27ans) artiste Gabonais qui fait tant parler de lui dans les battles de rap a dévoilé son nouveau clip, “Paméla”.

Un visuel que le public a découvert il y a moins de quarante-huit (48) heures. En effet, le samedi 11 juin, le rappeur a publié son exclusivité sur Youtube.

Loin de ressembler à ce qu’il a pour habitude de proposer, cette exclusivité nous fait découvrir la plus grande tristesse qu’un parent peut connaître : la perte d’un enfant. En s’inspirant d’une histoire réelle, le rappeur nous raconte la tragique disparition d’une dénommée “Pamela”. Jeune, belle et pleine de vie, cette dernière va connaître un peu trop vite les joies des virées nocturnes bien arrosées.

Un soir, allant d’un point chaud à un autre avec des connaissances à elle, “Pamela” va passer de vie à trepas dans un accident de la circulation. Une leçon de vie que l’artiste a tenu à partager à ses jeunes fans Gabonais. Au-delà d’eux, le message de Depelga est adressé aux jeunes du monde entier. Grâce à la distribution de cette musique par OZIK, en streaming, le récit de Depelga est entendu aux quatre coins du monde.

Mihi…

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L’Oiseau Rare dévoile “Bonjour” et prépare un show d’envergure pour le 20 décembre

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Figure incontournable de la Ntcham, L’Oiseau Rare continue de marquer la scène musicale gabonaise. Entre projets successifs et prestations scéniques, l’artiste s’impose comme l’un des visages les plus actifs du moment. Le 20 décembre prochain, il est attendu au Palais des Sports de Libreville pour un spectacle annoncé comme l’un des temps forts de l’année, avec l’ambition de rééditer le succès de 2024 devant des milliers de spectateurs.

Une préparation sous forme de mini-festival

Pour offrir à son public un rendez-vous mémorable, L’Oiseau Rare a imaginé une préparation inédite : une série de petites scènes ouvertes destinées à révéler de jeunes talents. Porté par le label Mario d’Africa Dream, le projet a sillonné plusieurs quartiers de Libreville avant de s’achever ce vendredi 12 décembre et samedi 13 décembre à Akanda, Belle Vue et au PK7.
Une approche qui traduit la volonté de l’artiste de partager la scène, mais aussi de créer une dynamique communautaire autour de la Ntcham.

“Bonjour”, un single introspectif tourné à Dubaï

Cette démarche artistique trouve un écho dans son nouveau single “Bonjour”, extrait de son album Afro Ntcham 2. Le clip, tourné dans le désert de Dubaï, aborde des thèmes forts : l’ingratitude dans certaines relations personnelles comme professionnelles, notamment au sein de l’industrie musicale.

Fidèle à ses convictions, L’Oiseau Rare évoque également sa foi, lui qui affirme publiquement appartenir à la religion musulmane. Dans un passage marquant, il confie :
« Personne n’est parfait, je construis mon avenir avec ce que j’ai fait à l’imparfait. »
Puis ajoute :
« Il n’y a que la prière qui peut me sauver. »

Un ton posé, une plume affirmée, et un album lancé

Avec ce titre au rythme moins intense mais chargé d’émotions, L’Oiseau Rare entend démontrer qu’il maîtrise autant le flow que l’écriture. Afro Ntcham 2 s’ouvre ainsi sur une tonalité introspective, donnant le ton pour la suite du projet.
Le public devrait d’ailleurs découvrir plusieurs titres de l’album sur scène lors du spectacle tant attendu du 20 décembre.

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Rodikx déclare la guerre au rap gabonais : qui répondra ?

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Avec son nouveau titre “À la guerre comme à la guerre”, Rodikx revient au premier plan et ravive les tensions au sein du rap gabonais. Alors que la Côte d’Ivoire vit une période marquée par les clashs, l’artiste installé à Dakar depuis plusieurs années signe un come-back agressif qui fait immédiatement réagir les fans et observateurs du milieu. Longtemps absent du pays, il revient en frappant fort, ciblant sans distinction les figures historiques comme les nouvelles têtes d’affiche.

Dès les premières attaques, Rodikx se tourne vers les anciens. Il pointe du doigt Kôba, revenu brièvement après 11 ans d’absence, accusé de manquer de respect à son mentor Ba’ponga. Il rappelle aussi le lien que Kôba entretient avec l’ancien régime d’Ali Bongo, un élément qu’il utilise pour questionner la loyauté et la droiture des artistes.

L’artiste poursuit en égratignant M.O.R et Marless, qui, après avoir lancé des piques au rappeur ivoirien Didi B, ont finalement accepté d’assurer sa première partie lors de son concert à Libreville. Pour Rodikx, cette attitude manque de cohérence et d’honneur, deux valeurs qu’il estime essentielles à la scène rap.

Le courant Ntcham, aujourd’hui incontournable dans l’urbain gabonais, n’est pas épargné. Rodikx fait référence au bad buzz d’Eboloko, évoque la montée rapide de Dementos, perçue comme une menace pour le leadership de L’Oiseau Rare, et critique la collaboration de NG Bling avec Tukinkin, qu’il interprète comme une quête de visibilité après une baisse de régime.

“Je vais vous manger un à un”, lâche-t-il, déterminé à s’imposer. Sa cible suivante est E.J, artiste Ntcham et beatmaker, moqué pour ses fréquentes apparitions en état d’ivresse : “T’es alcoolique ou t’es artiste ?”

Si les réactions se font attendre du côté des artistes cités, Marless a déjà commenté, non sans ironie : “Pousses encore, c’est pas encore ça mais bravo quand même pour le concept.”

Moins de 72 heures après la sortie, les réseaux s’enflamment. Qu’on le soutienne ou qu’on le critique, une chose est indéniable : Rodikx vient de redonner un souffle nouveau et un véritable débat au rap gabonais.

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Parfait Assa : “Amour Parfait”, une percée prometteuse sur la scène gabonaise

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Libreville, 09 novembre 2025 — Parfait Assa, de son vrai nom Mewono M’Assa Noël Parfait, s’impose comme l’une des voix montantes de la scène gabonaise. Né le 24 décembre 1995 à Oyem, dans le Nord du Gabon, il puise son inspiration dans les rythmes traditionnels de sa région et parvient à allier authenticité culturelle et modernité musicale.

Son premier single solo, “Amour Parfait”, sorti il y a près de quinze jours, explore avec sensibilité les nuances de la vie de couple. Sur des percussions traditionnelles, Parfait Assa délivre un message clair et universel : l’amour parfait n’existe pas, mais chaque couple peut surmonter ses épreuves avec patience et engagement. Produit sous le label Ewaga Family, le titre bénéficie du soutien de Princesse 12 Ewaga, figure emblématique de la musique gabonaise, qui l’accompagne et le guide dans ce projet inaugural.

Avant de se lancer en solo, Parfait Assa a acquis une solide expérience au sein du groupe Mamazou d’Akoakam, puis du collectif Akeng Ekang, dont il est aujourd’hui le leader vocal. Ces expériences lui ont permis de mettre en lumière la richesse des musiques et danses traditionnelles gabonaises, tout en y intégrant une touche contemporaine et personnelle. Son timbre unique et sa présence ont rapidement captivé le public.

Le tournant de sa carrière survient en 2021, lors du mariage de son aîné, où il participe à une chanson enregistrée au studio Laboratoire Z, qui connaît un succès immédiat. En 2024, il partage une chanson dédiée au mariage de Thierry Ndoumou Loudy, leader du groupe Mouyanga, aux côtés d’artistes renommés tels que Lauriane Ekondo, Hermy Mabila, Romaric, Macy Ilema et Ida Moulacka, renforçant ainsi sa réputation.

Le clip de “Amour Parfait”, disponible depuis une quinzaine de jours, illustre la sincérité du morceau et l’énergie de ses collaborateurs. Avec déjà plus de 2 000 vues sur YouTube, il reflète parfaitement la dualité entre passion et résilience, fil conducteur de la chanson. Avec ce premier titre, Parfait Assa signe un lancement prometteur, enraciné dans la tradition mais résolument ouvert à la modernité et à un public large.

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