Connect with us

Events

Challenge ” Drop ton track ” : Wiltrand shot lance les hostilités

Publié il y a

le

par

Partie prenante du projet ” Drop ton track “, organisé par Thomas Obengo et Trace Africa, sur la sponsorisation de SUNU ASSURANCES, Wiltrands hot ( réalisateur vidéo clip ) a lancé les hostilités ce mercredi premier ( 1er ) Février.

Comme on peut le voir sur une affiche à l’effigie de Wiltrand shot, le projet ” Drop ton track ” a officiellement débuté ce mercredi premier ( 1er ) Février. En effet, le support de communication mis à notre disposition, afin de relayer l’information, nous informe de ce que le projet va se tenir dans la période allant du 1er au 07 Février. Informée, la cible des organisateurs, qui est exclusivement constituée des artistes urbains débutants, aimerait en savoir davantage.

” Drop ton track ” : qu’est-ce que c’est ?

En échangeant avec Wiltrand shot, nous avons été éclairé sur le sujet. De la façon la plus simple, le réalisateur de vidéo clip a défini le concept comme suit :

<< Le challenge ” Drop ton Track ” est une compétition artistique dédiée aux artistes urbains, notamment ceux qui sont méconnus du grand public. Sur la période du 1er au 07 Février, après signature du contrat proposé par les organisateurs, ces derniers sont invités à envoyer une chanson en format MP3 sur le mail de l’organisation : droptontrack@gmail.com avec la mention PARTICIPATION À DROP TON TRACK. Au bout de l’analyse des œuvres, après les séances d’écoute, un jury constitué de professionnels décidera du vainqueur de la compétition. >>

Pour prendre part au projet ” Drop ton Track “, les artistes devront remplir les conditions suivantes :

• Avoir au moins 18 ans ;

• Résider dans le Grand Libreville ( Owendo, Ntoum, Libreville et Akanda ) ;

• La chanson envoyée doit être une œuvre urbaine pas encore exploitée ;

• Au cas où la musique serait produite par un beatmaker international, l’artiste s’engage à nous renseigner l’ensemble des détails de l’achat de l’instrumental et l’ensemble des personnes concernées par la production de ladite chanson. Dans ce cas, l’achat de la musique n’est pas du ressort des organisateurs, mais de l’artiste et son équipe ;

• Ne pas être sociétaire d’un label ou d’une boîte de production : être un artiste indépendant.

Une fois déclaré gagnant, le lauréat sera accompagné par les organisateurs : réalisation d’un clip vidéo par Wiltrandshot ; promotion et diffusion dudit clip sur Trace Africa.

Soumis à la signature d’un contrat en bonne et due forme, le lauréat du ” Drop ton Track “, devra respecter les différents engagements :

• Donner un accord à Thomas Obengo, Trace Africa et à Universal Music Africa les droits d’exploitation de la chanson encore appelée Phonogramme, ainsi que le vidéogramme associé ;

• Céder 50 % des droits d’exploitation du Phonogramme et du vidéogramme original, céder 50 % des contrats brand et 50 % sur le booking tous relatifs audit Phonogramme et vidéogramme à Thomas Thomas Obengo, Trace Africa et Universal Music Africa, sur une période d’un an à partir de la date de signature jusqu’au remboursement intégral des frais de production et marketing ( 7.000.000 FCFA) ;

• Signer un contrat d’exploitation du Phonogramme et du vidéogramme associé établi sur la base dudit règlement ;

• En cas d’indisponibilité, pour les dates de tournage du clip, je donne total accord à Thomas Obengo et au réalisateur Wiltrandshot d’organiser un tournage selon selon un modèle qu’ils auront jugés efficace pour permettre le respect des engagements et des détails qu’imposent mon indisponibilité ;

• Donner total accord à Thomas Obengo et au sponsor officiel, SUNU ASSURANCES au Gabon, d’utiliser mon image et le Phonogramme en exploitation dans la production d’un spot publicitaire mettant en avant un produit commercial pour ledit sponsor, sans contrepartie financière.

Au moment où une nouvelle génération d’artistes gabonais émerge à l’international, partant du succès rencontré au pays, le challenge ” Drop ton track ” arrive à point nommé. Aux dires d’un potentiel participant du challenge, cette initiative ” fera éclore un artiste dont le succès dépassera les frontières gabonaises en peu de temps… “.

Mihi…

Advertisement
Commenter

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Events

Alexis Abessolo est bien vivant : fin d’une rumeur morbide

Publié le

le

par


En quelques heures, son nom s’est retrouvé au cœur d’un emballement numérique mêlant émotion, incompréhension et confusion. Le 31 juillet au soir, une rumeur folle se propage sur les réseaux sociaux : Alexis Abessolo serait mort. Ni source officielle, ni preuve tangible. Juste une annonce virale, relayée avec empressement par certains internautes, provoquant une onde de choc dans le paysage culturel gabonais.

Face à l’ampleur de la rumeur, la vérification s’impose. Contactée par notre rédaction, la chanteuse Chantal’O – proche collaboratrice de l’artiste au sein du groupe Mbala – coupe court à toute spéculation :
« Il est vivant. »
Simple, direct, sans détour.

Quelques heures plus tard, Alexis Abessolo lui-même reprend la main, publiant un message rassurant sur ses réseaux sociaux :

« Je publie ce message pour apaiser vos cœurs et rétablir la vérité, face à une rumeur infondée circulant sur la toile, annonçant à tort mon décès. Me voici, bien vivant, et profondément touché par votre sollicitude. Merci à chacune et chacun d’entre vous. Que la paix vous accompagne. »

Un démenti clair, posé, qui contraste avec le déferlement d’informations non vérifiées. Une mise au point saluée par les nombreux fans de l’artiste, soulagés de voir que leur icône musicale est toujours parmi eux.

Une figure majeure de la scène musicale gabonaise

Alexis Abessolo n’est pas un artiste ordinaire. Il est l’un des piliers du mvett musical, un genre hérité des traditions orales fang, qu’il a su moderniser sans le dénaturer. Son parcours débute au sein du groupe estudiantin Mbala, avec lequel il enregistre deux albums. C’est avec le titre « Mvet 2000 » que le grand public le découvre véritablement.

En 2002, il entame sa carrière solo. Son premier album rencontre un succès éclatant avec des titres comme « Akal Fam », « Mvet 2000 phase 2 » et « Felissa », dont le clip marquant met en scène l’humoriste Serge Abessolo. Deux ans plus tard, il enchaîne avec un second album qui contient notamment « Tapala » et « Ton public », ce dernier revisité à l’occasion de la présidentielle de 2005.

Loin d’être figé dans une époque, l’artiste a prouvé sa capacité à évoluer : il revient sur le devant de la scène il y a deux ans avec le titre « Terre-Mère », sur fond d’Amapiano, démontrant qu’il sait dialoguer avec les tendances actuelles sans perdre son identité musicale.

Une attente forte du public

Auteur de plusieurs projets à succès, Alexis Abessolo incarne à la fois la mémoire et le renouvellement de la musique gabonaise. Chacun de ses retours est scruté, attendu. Sa capacité à allier profondeur culturelle et audace musicale en fait une référence pour plusieurs générations.

Cette rumeur aura au moins eu un effet : rappeler à quel point Alexis Abessolo reste central dans le cœur du public gabonais. Pour la gloire de la musique nationale, on espère qu’il se remettra au plus vite, pour offrir à nouveau des tubes à un public qui ne l’a jamais oublié.

Continue Reading

Events

Aubameyang, le retour d’une idylle marseillaise

Publié le

le

par

On aurait dit une scène de concert. Ce mercredi, l’aéroport marseillais a été envahi par une foule en liesse venue acclamer Pierre-Emerick Aubameyang, accueilli comme une rock-star par les supporters de l’Olympique de Marseille.

À 36 ans, l’attaquant gabonais s’apprête à signer son grand retour dans le club phocéen, un an après l’avoir quitté. Fumigènes, chants, drapeaux… Dès sa descente d’avion, Aubameyang a retrouvé l’amour de tout un peuple. « Auba, Auba ! » résonnait sous les cris d’admiration. Visiblement ému, l’ex-capitaine d’Arsenal a salué la foule avec le sourire de celui qui revient chez lui.

Et pour cause : lors de son passage à Marseille en 2023-2024, il avait marqué 30 buts, délivré 11 passes décisives, et surtout conquis les cœurs. Son départ avait laissé un goût d’inachevé. Mais sa déclaration « Marseille, c’est chez moi » n’a jamais cessé de résonner.

Ce retour, non encore officialisé, pourrait redonner un second souffle à l’OM, en quête d’un nouveau souffle offensif. Sous la direction de l’actuel coach, Aubameyang pourrait être l’élément-clé d’un projet ambitieux pour reconquérir la scène française et européenne.

Plus qu’un transfert, c’est une passion ravivée entre un joueur et sa ville. Le Vélodrome n’attend plus que lui.

Continue Reading

Events

Ludacris, l’Américain devenu Gabonais, reçoit L’Oiseau Rare à Libreville

Publié le

le

par

Depuis son arrivée à Libreville il y a quelques jours, Ludacris est au centre de toutes les attentions. Véritable attraction nationale, le célèbre rappeur et acteur américain, connu pour ses tubes planétaires comme Area Codes, Act a Fool ou encore sa participation à la franchise Fast and Furious, fait vibrer la toile et les rues de la capitale gabonaise.

Naturalisé gabonais depuis le 2 janvier 2020, Christopher Brian Bridges, de son vrai nom, n’a jamais caché son attachement au pays d’origine de son épouse, Eudoxie Mbouguiengue. La cérémonie de naturalisation s’était déroulée en présence du ministre des Affaires étrangères de l’époque, Alain-Claude Bilie-By-Nze, lors d’un séjour familial marquant aussi leur 5e anniversaire de mariage. Ce jour-là, sa mère et ses filles ont également obtenu la nationalité gabonaise. Ludacris avait alors qualifié ce moment de « magnifique surprise » et de « belle manière de commencer l’année ».

Depuis, la star américaine ne cesse de témoigner de son affection pour le Gabon. Des pas de danse sur des musiques locales aux déclarations enthousiastes sur son lien avec le pays, il affiche fièrement son identité gabonaise. Cette fois-ci, accompagné de sa famille, il sillonne Libreville pour découvrir ses richesses culturelles et humaines, allant même jusqu’à jouer au football avec les jeunes du quartier populaire de « Trois quartiers ». Ces scènes, largement relayées sur les réseaux sociaux, participent à renforcer la proximité entre l’artiste et la population locale.

Mais l’un des temps forts de son séjour s’est produit dans la nuit du 29 juillet, lorsqu’il a reçu chez lui à Libreville L’Oiseau Rare, figure montante et artiste gabonais le plus en vue actuellement. La rencontre, immortalisée en images, suscite déjà de nombreuses spéculations : simple échange entre passionnés de musique ou prémices d’un projet d’envergure ? Une collaboration musicale entre les deux artistes serait en discussion… à moins que l’on assiste à une surprise encore plus inattendue : la participation de L’Oiseau Rare dans un prochain Fast and Furious.

Du côté des artistes locaux, l’effervescence est palpable. Rodzeng, l’un des piliers du rap gabonais, multiplie les appels sur les réseaux sociaux pour proposer un featuring à Ludacris, espérant que cette visite historique donnera naissance à des passerelles entre les scènes hip-hop gabonaise et internationale.

Au-delà du buzz, la présence de Ludacris illustre une autre réalité : celle d’un lien sincère et durable entre une star mondiale et un pays africain dont il se sent désormais citoyen à part entière. Entre ancrage familial, gestes de proximité avec la jeunesse, et intérêt pour la musique locale, Ludacris impose une nouvelle manière d’incarner l’identité gabonaise au-delà des frontières.

La rédaction / Luce

Continue Reading