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Akûm Radio ravive l’Éclat de “Ma Nneghe Wa (Dieu je t’aime)” de Grâace Divine

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Dans le monde riche et diversifié de la musique gospel gabonaise, il existe des joyaux musicaux qui transcendent le temps. Parmi ces trésors se trouve la chanson intemporelle de Grâace Divine, “Ma Nneghe Wa (Dieu je t’aime)”, qui a conquis les cœurs il y a six ans déjà. Cette œuvre inspirée est bien plus qu’une simple chanson ; elle est une déclaration d’amour envers le Seigneur, imprégnée de sens et de profondeur.

“Ma Nneghe Wa” est une œuvre qui s’enracine dans l’histoire de la musique africaine, utilisant un sample du célèbre titre “Bayé” de Monique Seka, icône de l’Afro Zouk des années 90. Cette fusion de sonorités gabonaises et ivoiriennes, rendue possible grâce au talent de Chris Da-Crazy, donne à la chanson une touche unique. Les paroles, écrites par Jey Rspctme du groupe BGMFK, révèlent une relation profonde entre Grâace Divine et le Seigneur. Elles parlent de l’intervention divine dans la vie de l’artiste, le Seigneur devenant un véritable super-héros. Chaque verset respire l’admiration et l’attraction envers Dieu.

“Ma Nneghe Wa (Dieu je t’aime)” de Grâace Divine transcende les frontières musicales et culturelles pour toucher les âmes. Cette chanson, ancrée dans la foi et l’amour envers le Seigneur, a su capter l’essence même de la spiritualité à travers la musique. Avec son échantillon musical soigneusement choisi, ses paroles inspirées et son interprétation passionnée, elle continue à résonner dans les cœurs des auditeurs, rappelant l’importance de l’amour divin dans nos vies. Une ode intemporelle qui nous invite à méditer sur la grâce infinie de Dieu.

Mihi…

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« On est degba » : Magic System questionne l’amitié à l’épreuve de la trahison

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Toujours fidèle à sa vocation de chroniqueur social, Magic System signe son retour avec « On est degba », un titre qui ausculte sans détour les fractures au sein des relations humaines. Premier single extrait de leur 12ᵉ album Doni, doni, déjà disponible, cette chanson marque une nouvelle étape dans la carrière du groupe ivoirien, qui célèbre cette année 30 ans de présence sur la scène musicale africaine.

Dans On est degba, Magic System met en lumière la trahison dans l’amitié, ces liens rompus par les non-dits, les confidences dévoilées et les changements d’alliance. Les paroles, ancrées dans le vécu quotidien, interpellent : « Même si aujourd’hui on ne se parle plus, est-ce une raison pour devenir mon sorcier ? » ou encore « Nos ennemis sont devenus ses amis ». Une écriture directe qui rappelle la capacité du groupe à transformer les réalités sociales en messages universels.

Deux jours après la publication du clip officiel, « On est degba » cumule moins de 250 000 vues sur YouTube. Un chiffre qui, bien que provisoire, pourrait évoluer pour mieux refléter l’aura de Magic System, dont la longévité continue de fédérer plusieurs générations de mélomanes.

Ce premier extrait annonce l’album Doni, doni, un projet de 12 titres déjà sorti, dont le titre, signifiant doucement, doucement, résume un parcours bâti dans la patience et la persévérance. Né à Anoumabo, quartier populaire d’Abidjan, Magic System a traversé les échecs et la débrouille avant d’imposer son zouglou sur les scènes africaines et internationales.

Le projet aborde des thématiques variées telles que la religion, l’émigration clandestine, l’argent, avec pour fil conducteur l’amitié, pilier central de l’album. Pour se renouveler, le groupe s’est entouré d’artistes de la nouvelle génération, notamment Didi B, Tamsir et Noémie, dans une dynamique de brassage artistique visant à apporter un regard neuf à sa musique.

Fidèle à une stratégie progressive, Magic System a choisi de ne pas dévoiler les visuels d’un seul bloc. Chaque titre de l’album bénéficiera de son clip, publié au fil des semaines, laissant au public le temps de s’approprier pleinement le projet.

Un retour plus approfondi sur l’album Doni, doni, ses collaborations et sa direction artistique sera proposé dans un prochain article, au moment où Magic System poursuit son dialogue musical avec son public, trois décennies après ses débuts.

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L’Oiseau Rare dévoile “Bonjour” et prépare un show d’envergure pour le 20 décembre

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Figure incontournable de la Ntcham, L’Oiseau Rare continue de marquer la scène musicale gabonaise. Entre projets successifs et prestations scéniques, l’artiste s’impose comme l’un des visages les plus actifs du moment. Le 20 décembre prochain, il est attendu au Palais des Sports de Libreville pour un spectacle annoncé comme l’un des temps forts de l’année, avec l’ambition de rééditer le succès de 2024 devant des milliers de spectateurs.

Une préparation sous forme de mini-festival

Pour offrir à son public un rendez-vous mémorable, L’Oiseau Rare a imaginé une préparation inédite : une série de petites scènes ouvertes destinées à révéler de jeunes talents. Porté par le label Mario d’Africa Dream, le projet a sillonné plusieurs quartiers de Libreville avant de s’achever ce vendredi 12 décembre et samedi 13 décembre à Akanda, Belle Vue et au PK7.
Une approche qui traduit la volonté de l’artiste de partager la scène, mais aussi de créer une dynamique communautaire autour de la Ntcham.

“Bonjour”, un single introspectif tourné à Dubaï

Cette démarche artistique trouve un écho dans son nouveau single “Bonjour”, extrait de son album Afro Ntcham 2. Le clip, tourné dans le désert de Dubaï, aborde des thèmes forts : l’ingratitude dans certaines relations personnelles comme professionnelles, notamment au sein de l’industrie musicale.

Fidèle à ses convictions, L’Oiseau Rare évoque également sa foi, lui qui affirme publiquement appartenir à la religion musulmane. Dans un passage marquant, il confie :
« Personne n’est parfait, je construis mon avenir avec ce que j’ai fait à l’imparfait. »
Puis ajoute :
« Il n’y a que la prière qui peut me sauver. »

Un ton posé, une plume affirmée, et un album lancé

Avec ce titre au rythme moins intense mais chargé d’émotions, L’Oiseau Rare entend démontrer qu’il maîtrise autant le flow que l’écriture. Afro Ntcham 2 s’ouvre ainsi sur une tonalité introspective, donnant le ton pour la suite du projet.
Le public devrait d’ailleurs découvrir plusieurs titres de l’album sur scène lors du spectacle tant attendu du 20 décembre.

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Rodikx déclare la guerre au rap gabonais : qui répondra ?

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Avec son nouveau titre “À la guerre comme à la guerre”, Rodikx revient au premier plan et ravive les tensions au sein du rap gabonais. Alors que la Côte d’Ivoire vit une période marquée par les clashs, l’artiste installé à Dakar depuis plusieurs années signe un come-back agressif qui fait immédiatement réagir les fans et observateurs du milieu. Longtemps absent du pays, il revient en frappant fort, ciblant sans distinction les figures historiques comme les nouvelles têtes d’affiche.

Dès les premières attaques, Rodikx se tourne vers les anciens. Il pointe du doigt Kôba, revenu brièvement après 11 ans d’absence, accusé de manquer de respect à son mentor Ba’ponga. Il rappelle aussi le lien que Kôba entretient avec l’ancien régime d’Ali Bongo, un élément qu’il utilise pour questionner la loyauté et la droiture des artistes.

L’artiste poursuit en égratignant M.O.R et Marless, qui, après avoir lancé des piques au rappeur ivoirien Didi B, ont finalement accepté d’assurer sa première partie lors de son concert à Libreville. Pour Rodikx, cette attitude manque de cohérence et d’honneur, deux valeurs qu’il estime essentielles à la scène rap.

Le courant Ntcham, aujourd’hui incontournable dans l’urbain gabonais, n’est pas épargné. Rodikx fait référence au bad buzz d’Eboloko, évoque la montée rapide de Dementos, perçue comme une menace pour le leadership de L’Oiseau Rare, et critique la collaboration de NG Bling avec Tukinkin, qu’il interprète comme une quête de visibilité après une baisse de régime.

“Je vais vous manger un à un”, lâche-t-il, déterminé à s’imposer. Sa cible suivante est E.J, artiste Ntcham et beatmaker, moqué pour ses fréquentes apparitions en état d’ivresse : “T’es alcoolique ou t’es artiste ?”

Si les réactions se font attendre du côté des artistes cités, Marless a déjà commenté, non sans ironie : “Pousses encore, c’est pas encore ça mais bravo quand même pour le concept.”

Moins de 72 heures après la sortie, les réseaux s’enflamment. Qu’on le soutienne ou qu’on le critique, une chose est indéniable : Rodikx vient de redonner un souffle nouveau et un véritable débat au rap gabonais.

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